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Bien que salué par le Conseil de l’Europe pour avoir renforcé son système de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, Monaco doit encore agir sur certains secteurs, notamment les casinos. Certains conseillers nationaux craignent des règles de mise en conformité qui pénaliseraient l'activité des Jeux. À l'occasion de ses vœux, Stéphane Valeri a donné son ressenti.
Les règles de conformité pour répondre aux normes internationales en termes de lutte contre le blanchiment d’argent posent question dans nombre de domaines en Principauté. Et les casinos de la SBM n’échappent pas à la règle. En décembre dernier, la question a fait débat lors des échanges pour le vote du budget primitif au Conseil national, à l’évocation de règles qui pénaliseraient l’activité des casinos. Hier, Stéphane Valeri a livré son ressenti.
"Nous sommes aux côtés de l’Etat monégasque pour l’aider à sortir le plus rapidement possible de la liste grise. Nous avons investi des moyens considérables pour l’étude de la provenance des fonds de nos clients, la création de postes avec des gens compétents, les process mis en place au Casino. Nous sommes plus observés que partout ailleurs. Le moindre petit souci au Casino serait immédiatement répercuté dans le monde médiatique. Nous nous devons d’être exemplaires et nous faisons tout pour y arriver", promet le président-délégué.
"Nous demandons à être jugés sur des critères de casino, pas de banque"
"Pour autant, on ne doit pas nous juger sur des critères qui ne sont pas ceux des casinos."
Le débat est en cours avec l’organisme qui contrôle et les autorités locales pour trouver un juste milieu. "À la différence de tous les autres casinos d’Europe, nous ne sommes pas jugés sur des critères de casino mais sur des critères de banque. Ce n’est pas normal, alors qu’en France par exemple, des critères sont mis en place pour juger les casinos. Nous demandons la même chose et cela nous a été refusé."
Un état de fait que regrette le président Valeri, qui espère une évolution positive.
"Avant qu’un joueur ne mette un euro dans une machine à sous, il faudrait le faire passer dans un bureau, faire un audit sur ses fonds, appeler sa banque. Si on fait cela on ne peut plus avoir de casino à Monaco. J’aurais la queue jusqu’à l’Hermitage et les gens n’accepteraient pas d’attendre des heures pour jouer. On fait ce contrôle pour nos gros clients, pour les réguliers. On ne peut pas contrôler les centaines de personnes qui entrent chaque heure au Café de Paris. Une personne qui joue et qui perd, c’est fini. Si elle gagne, on fait les vérifications. Cela nous arrive de faire des déclarations de soupçon ou de refuser de payer dès que l’on n’a pas la garantie que l’argent joué est légal."
(source : moncacomatin.mc/Cédric Verany)Permalien les-regles-internationales-de-lutte-contre-le-blanchiment-d-argent-penalisent-t-elles-l-activite-des-casinos-a-monaco-stephane-valeri-donne-son-avis-15-01-2025-787.html
Bangkok (awp/afp) - Le gouvernement a ouvert la voie, lundi, à la légalisation des casinos et des jeux d'argent en Thaïlande, un projet de loi controversé que les autorités défendent au nom de la promotion du tourisme.
"Le Cabinet a approuvé en principe le projet de loi sur les complexes de divertissement proposé par le ministère des Finances", a déclaré la Première ministre Paetongtarn Shinawatra.
"Les objectifs sont: augmenter les revenus, soutenir l'investissement et lutter contre les jeux d'argent illégaux", a insisté la dirigeante.
Le texte prévoit d'installer les casinos au sein de "complexes de divertissement" plus larges, qui pourraient aussi comprendre un centre commercial, un parc aquatique ou un hôtel.
Le projet de loi doit passer devant les députés pour un premier examen, en vue de la poursuite de la procédure législative qui pourrait prendre des mois.
Ni l'emplacement de ces sites, ni un éventuel calendrier de construction n'ont été annoncés.
Depuis la fin de la pandémie, la Thaïlande multiplie les initiatives pour relancer le tourisme, crucial pour son économie, comme la levée des restrictions de visa pour les Indiens et les Chinois.
Les casinos et la plupart des jeux d'argent sont bannis, sous l'influence des milieux bouddhistes conservateurs, mais l'interdiction n'a pas empêché l'émergence de réseaux clandestins qui génèrent de fortes sommes.
L'Etat contrôle la loterie et les paris hippiques qui constituent les rares moyens autorisés de jouer de l'argent en Thaïlande.
Les Thaïlandais peuvent se rendre dans des casinos implantés à la frontière, au Laos, en Birmanie et au Cambodge, dans des zones spéciales parfois considérées comme des espaces de non-droit.
Les casinos ont progressé de manière "exponentielle" ces dernières années en Asie du Sud-Est, et favorisé dans la région les activités de blanchiment d'argent, a relevé un rapport de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime, paru en janvier 2024.
La législation proposée par le gouvernement pourrait générer au moins 120 milliards de bahts (3,4 Mds EUR), et créer entre 9000 et 15'000 emplois, a assuré le vice-ministre des Finances Julapun Amornvivat, qui espère une hausse du tourisme de 5 à 10%.
La Thaïlande, deuxième économie d'Asie du Sud-Est, affiche des performances mitigées depuis plusieurs années. Son taux de croissance pour 2025 (3,0%) est attendu en-deça de celui de ses voisins vietnamien, philippin, malaisien ou indonésien, selon le Fonds monétaire international.
Le royaume a attiré plus de 35 millions de visiteurs en 2024, et devrait dépasser cette année son niveau pré-Covid, d'après la Banque mondiale.
(source : zonebourse.com/afp/cw)Permalien thailande-le-gouvernement-s-accorde-sur-la-legalisation-des-casinos-15-01-2025-786.html
Communiqué de presse
Les casinos suisses améliorent la protection contre la dépendance au jeu et le jeu excessif. Ils mettent en œuvre un accord entre la Suisse et le Liechtenstein, selon lequel les interdictions de jeu s'appliquent également dans l'autre pays. L'accord entre en vigueur le 7 janvier 2025. À partir de cette date, environ 100 000 interdictions de jeu dans les casinos terrestres et en ligne de Suisse s'appliqueront également aux casinos du Liechtenstein.
Les casinos doivent interdire les personnes qui, selon eux, jouent au-delà de leurs moyens financiers, sont accros au jeu, se sont elles-mêmes interdites ou grâce aux conseils de proches. Les casinos doivent exiger une preuve financière des joueurs qui jouent fréquemment ou avec des enjeux élevés. Si aucun document n'est présenté ou si les documents démontrent une situation financière insuffisante, la personne sera bloquée.
Portée des interdictions de jeu
Une interdiction de jeu s'applique depuis toujours dans tous les casinos terrestres et en ligne de Suisse ainsi que pour les jeux en ligne de Swisslos et de la Loterie Romande. À partir du 7 janvier 2025, les interdictions s'appliqueront également à tous les casinos du Liechtenstein. Et les interdictions dans les casinos du Liechtenstein s'appliquent également en Suisse. Cela améliore la protection contre la dépendance au jeu et au jeu excessif.
Environ 100 000 interdictions de jeu
Depuis l'ouverture des casinos il y a plus de 20 ans, environ 100 000 personnes ont été interdites. Beaucoup d’entre eux l’ont été parce qu’ils n’étaient pas prêts à divulguer leur situation financière aux casinos. Toutes les interdictions de jeu existantes et futures sont affectées par l'extension au Liechtenstein.
Combler les lacunes
L'Association Suisse des Casinos demande que toutes les lacunes restantes dans la protection des joueurs soient comblées. Les casinos en ligne étrangers illégaux détiennent une part de marché d'environ 40 % en Suisse. Ils contournent la protection suisse des joueurs, car ceux qui sont bannis peuvent continuer à jouer sans entrave et ne paient aucun impôt en Suisse. Ils doivent donc être combattus avec rigueur par les autorités responsables. En outre, il convient de créer une base juridique pour que les interdictions de jeu suisses s'appliquent également dans d'autres pays voisins.
Impact sur les casinos suisses
Les casinos suisses saluent cette décision politique. En raison de la proximité de la frontière avec le Liechtenstein, les joueurs interdits (interdictions résultant des casinos suisses) ont souvent migré vers les casinos du Liechtenstein. Afin de garantir une protection globale et transfrontalière des joueurs, cet accord est particulièrement pertinent.
Permalien les-jeux-suisses-seront-interdits-au-liechtenstein-a-partir-de-2025-06-01-2025-785.html
Exclusion des jeux imposée
Les maisons de jeu prononcent une exclusion de jeu lorsqu'elles savent ou doivent présumer, sur la base de leurs observations ou des informations provenant de tiers, que les personnes:
- sont surendettées ou
- ne remplissent pas leurs obligations financières, ou
- engagent des mises sans rapport avec leur revenu et leur fortune.
Les maisons de jeu excluent par ailleurs des jeux les personnes dont elles savent ou doivent présumer, suite à un signalement d’un service spécialisé ou d’une autorité sociale, qu’elles sont dépendantes au jeu.
Exclusion des jeux volontaire
Les joueurs ont aussi en tout temps la possibilité de s’exclure eux-mêmes des jeux. Ils peuvent demander à tout moment l'exclusion volontaire des jeux en se rendant personnellement dans la maison de jeu ou en envoyant une demande écrite à la maison de jeu de leur choix, accompagnée d'une copie d'une pièce d'identité valable.
Signalement de tiers
Si des membres de la famille, des amis, des collègues de travail ou d'autres tiers s'inquiètent du comportement de jeu d'une personne, ils peuvent contacter la maison de jeu et attirer son attention sur le changement de comportement ou la modification de sa situation financière en rapport avec le jeu. Si la personne remplit les conditions d'exclusion, la maison de jeu prononce une exclusion de jeu.
À prendre en compte lors d’une exclusion
Tous les exploitants de jeux d'argent qui prononcent des exclusions de jeu inscrivent les personnes exclues dans un registre central. Une fois inscrite, l’exclusion de jeu est valable dans toute la Suisse et la personne est exclue des jeux de casino (terrestres et en ligne) ainsi que des jeux de grande envergure en ligne (comme la loterie, Euro millions, etc.).
La CFMJ n’a pas accès à ce registre. Elle ne peut pas voir qui est exclu.
Levée de l’exclusion de jeu
L’exclusion de jeu n’est en principe pas limitée dans le temps.
La maison de jeu doit lever une exclusion de jeu lorsque le motif de l’exclusion n’existe plus. Une exclusion de jeu volontaire peut être levée au plus tôt trois mois après son inscription.
Pour qu’une exclusion de jeu soit levée, il est nécessaire que la personne exclue en fasse la demande. Cette demande doit être déposée auprès de la maison de jeu qui a prononcé l’exclusion de jeu ou auprès de laquelle la personne a demandé son exclusion volontaire. La CFMJ ne traite aucune demande de levée d’exclusion de jeu et ne peut par conséquent pas ordonner la levée d’une exclusion.
Voies de droit
La personne qui conteste une décision d’exclusion prononcée par une maison de jeu ou une décision de ne pas lever une exclusion de jeu peut s’adresser au tribunal civil compétent. Il n’appartient pas à la CFMJ de jouer le rôle d’autorité de conciliation en cas de désaccords entre les joueurs et les maisons de jeu.
Exclusion des jeux en Suisse
La CFMJ publie le nombre de joueurs exclus chaque année. Ce sont les maisons de jeu qui lui transmettent ces chiffres, car la CFMJ ne peut pas accéder elle-même au registre des exclusions.
Le graphique montre que les exclusions augmentent chaque année depuis l’ouverture des maisons de jeu en 2002 et 2003. L’augmentation marquée à partir de 2019 est due à l’entrée en vigueur de la nouvelle loi sur les jeux d’argent (LJAr), le 1er janvier 2019. A partir de ce moment, les maisons de jeu terrestres pouvaient demander une extension de leur concession pour l’exploitation de jeux en ligne.
La Suisse compte actuellement 10 casinos en ligne.
Permalien exclusion-des-jeux-31-12-2024-784.html
L'Association des casinos du Liechtenstein considère l'échange comme une façade, car seuls les deux pays sont concernés.
Environ deux tiers des joueurs des casinos du Liechtenstein viennent de Suisse. Selon les spéculations, il y aurait parmi eux également des personnes dont les noms figurent sur une liste noire en Suisse et qui se voient donc refuser l'accès aux casinos suisses. Le nombre de personnes interdites qui se rendent pour jouer dans les six casinos du Liechtenstein n’est pas connu. Mais l'agitation prendra fin le 7 janvier. C'est à cette date qu'entre en vigueur l'accord entre la Suisse et le Liechtenstein, qui prévoit l'échange automatique de listes bloquées.
Avec cet accord, les deux pays s’engagent à travailler ensemble pour se protéger contre le jeu excessif et échangeront des listes d’interdictions de jeu imposées à l’avenir. La loi du Liechtenstein sur les jeux de hasard, qui s’inspire en partie de la législation suisse, contient diverses exigences relatives à l’interdiction des jeux de hasard. Les joueurs seront bannis s’ils sont surendettés ou s’ils ne peuvent plus faire face à leurs obligations financières. Il en va de même lorsque les enjeux sont disproportionnés par rapport aux revenus ou aux actifs. Selon les dispositions transitoires, les interdictions de jeu s’appliquent également aux joueurs qui ont déjà été bannis, quelle que soit la raison de l’interdiction : y compris les personnes qui ont elles-mêmes été bannies pour se protéger.
Les demandes d’échange de listes noires sont presque aussi anciennes que les débuts de l’industrie des casinos en 2017. Lorsque les voitures avec des plaques d’immatriculation suisses ont été repérées devant les premiers casinos, on a immédiatement soupçonné que seuls les joueurs interdits de jeu en Suisse auraient pu voyager dans ces véhicules. Le fait que les casinos soient tenus par la loi d’assurer une protection complète des joueurs n’a joué aucun rôle dans ces spéculations. Dans le cadre d’un concept social légalement requis, les casinos sont tenus de prendre des mesures préventives contre les accros au jeu, comme limiter les visites mensuelles au casino, fixer un montant maximum de jeu ou ne pas utiliser de cartes de crédit. Cependant, si la prévention ne suffit pas, la seule option est le blocage, ce qui arrive souvent. Fin 2023, pas moins de 4 517 joueurs étaient bannis des six casinos. Selon les informations de l’association des casinos, de nouvelles interdictions de jeu ont été imposées cette année.
Pour Markus Kaufmann, président de l’Association des Casinos de la Principauté du Liechtenstein, ces interdictions témoignent du fait que les casinos remplissent leurs obligations de protection des joueurs. L’industrie ne bloque donc pas l’échange de listes noires entre la Suisse et le Liechtenstein. Mais Kaufmann considère l’échange de listes comme de la poudre aux yeux. Une telle mesure n’aidera pas vraiment un seul accro au jeu. Si un accro au jeu est interdit en Suisse et ne sera donc plus autorisé à l’avenir dans les casinos du Liechtenstein, il peut simplement conduire un peu plus loin : dans les casinos du Vorarlberg et du sud de l’Allemagne, personne ne se soucie des interdictions en Suisse et au Liechtenstein.
Une baisse de 30 pour cent est prévue
Cette question a également été soulevée au Parlement du Liechtenstein lors des discussions sur l’accord avec la Suisse. Mais il n’y avait pas de ton plus critique à entendre que la question de savoir s’il s’agissait d’un « tigre édenté ». En fait, la ministre de l’Économie Sabine Monauni a reçu de nombreux éloges pour ses efforts visant à conclure l’accord sur la liste noire avec la Suisse. Lorsqu’on lui a demandé si un accord similaire pourrait également être conclu avec l’Autriche ou l’Allemagne, Monauni avait douché les espoirs qui y étaient associés. En Autriche, il n’existe pas de base de données de blocage à l’échelle nationale entre les fournisseurs, ce qui constituerait une condition préalable à l’échange de listes de blocage. Il n’existe pas non plus d’accord entre deux pays européens comparable à l’accord Liechtenstein-Suisse.
Les experts désignés par le gouvernement supposent apparemment qu’un nombre important de joueurs du Liechtenstein figurent sur une liste d’interdiction en Suisse. Le ministre de l’Économie Monauni a expliqué au Parlement qu’un comité consultatif prévoyait une baisse de 30 pour cent des revenus bruts des jeux. Si cette prévision se réalisait, le budget de l’État serait sensiblement affecté. Au cours de l’exercice 2023, les jeux de hasard ont généré des recettes d’environ 50 millions de francs, ce qui correspond à environ un cinquième des recettes de la TVA. L’association des casinos ne commente pas spécifiquement l’impact sur les recettes de l’État, mais table également sur une baisse. L’association est plus préoccupée par le fossé réglementaire entre les casinos et la Suisse ainsi que par le durcissement de la loi sur les jeux de hasard et des réglementations associées au cours des sept dernières années. Selon le président Kaufmann, il s’agit notamment d’augmentations d’impôts, d’interventions dans la distribution de jetons gratuits ou de modifications de la proportion de jeux de table et de machines à sous. L’industrie du jeu, encore jeune, ne bénéficie d’aucune sécurité juridique ; en fait, l’épée de Damoclès des nouvelles réglementations gouvernementales plane constamment sur les casinos.
(source : news.dayfr.com/nzz.ch)Permalien plus-d-alternatives-pour-les-accros-au-jeu-la-suisse-et-le-liechtenstein-echangent-des-listes-de-casinos-bloques-31-12-2024-783.html
Il existe de nombreux fournisseurs de jeux illégaux sur Internet. Gerhard Pfister estime que le gouvernement fédéral devrait faire davantage dans ce domaine.
Gerhard Pfister, conseiller national de Zoug Centre, fait campagne contre les casinos en ligne illégaux. Il a soumis cette semaine une proposition correspondante . Par interpellation, il demande au Conseil fédéral des informations sur les dommages causés par les fournisseurs de jeux illégaux et sur la manière de mieux contrôler le secteur.
Pfister souhaite savoir en détail, entre autres, comment la part de marché élevée des prestataires illégaux affecte la protection des accros au jeu, quelles pertes financières l'AVS subit en raison des prestataires opaques, comment empêcher plus efficacement leur publicité et quelles autres mesures peuvent être prises pour lutter contre les comportements inadmissibles, le Conseil fédéral .
L'argent est perdu, les toxicomanes peuvent passer à autre chose
Seuls les casinos en ligne agréés par le Conseil fédéral et inspectés et agréés par la Commission fédérale des casinos sont autorisés à fonctionner en Suisse . Il existe actuellement dix casinos en ligne suisses en activité. Ils assurent une protection stricte contre la dépendance au jeu, le blanchiment d’argent et la fraude. Vous versez chaque année environ 120 millions de francs de cotisations à l'AVS.
Pour justifier sa proposition, Pfister écrit que les prestataires illégaux en Suisse ont causé d'énormes dégâts économiques. En outre, selon le Conseil national, les joueurs interdits en Suisse pourraient continuer à jouer sans entrave sur les plateformes et il y aurait un risque que les fournisseurs escroquent leurs clients.
(source : zentralplus.ch)Permalien le-conseil-national-de-zoug-fait-campagne-contre-les-casinos-illegaux-30-12-2024-782.html
«Plutôt un au revoir qu’un adieu»
Christophe Lancel a tenu la barre du Casino de Fribourg pendant seize ans. Interview par le journal La Liberté.
Propos recueillis par Lise-Marie Piller
C’est une rareté dans le milieu. Christophe Lancel a été directeur du Casino de Fribourg pendant seize ans et demi, alors que la durée moyenne varie d’ordinaire entre cinq et dix ans, relève-t-il. Interview de cet habitant de Neyruz, électronicien de formation et Lyonnais d’origine, qui vient de transmettre le flambeau.
Pourquoi partir?
Je suis resté très longtemps à Fribourg car je voulais y développer mes compétences, puis on m’a proposé de reprendre la direction du deuxième casino de France à Blotzheim, à la frontière avec la Suisse et l’Allemagne. Je déménagerai début janvier, mais je garde un fort attachement au canton et serai à moins de deux heures de route. C’est donc plutôt un au revoir qu’un adieu. Je garde un excellent souvenir des équipes, qui ont même fait une pétition pour que je reste.
Rappelez-nous comment vous avez atterri ici?
J’étais directeur d’un casino au Touquet, dans le Nord-Pas-de-Calais, et j’avais eu l’occasion de venir en Suisse à plusieurs reprises. J’avais toujours dit que si un poste se libérait dans le pays, je serais intéressé.
Qu’avez-vous appris durant ces 16 ans?
L’adaptation, autrement dit, la capacité à être au plus près des problématiques et enjeux. La Suisse a aussi le sens du détail, ce qui m’a aidé à affiner l’exécution de mes projets.
Quels ont été les moments marquants?
Nous avions un projet d’agrandissement (ambitionnant de doubler la surface, ndlr), mais au moment où nous avons reçu le feu vert en 2009, les casinos de Neuchâtel et de Zurich ont vu le jour. Or, comme nous voulions aller chercher des clients extra-cantonaux, ce projet n’était plus pertinent. Nous avons donc effectué une petite extension de la salle de jeu et créé un restaurant de 120 places ouvert à tous. Il y a aussi eu le Covid: nous avons dû fermer le casino le vendredi 13 mars 2020, alors qu’il était plein.
Comment les jeux, la clientèle et les collaborateurs ont évolué?
Quand le casino a ouvert en 2003, le smartphone n’existait pas. Les jeux ont évolué avec l’avènement des écrans plats, des logiciels et d’internet. La clientèle s’est un peu réduite au fil du temps et la nouvelle génération est plus numérique et interactive. Elle recherche des curiosités, de l’ambiance et du divertissement, ce qui nous amène à proposer beaucoup de nouveautés: jeux interactifs, soirées spectacles – par exemple avec des chippendales, etc. La roulette reste le jeu le plus apprécié, car il s’agit du plus généreux en matière de gains. Actuellement, il y a une cinquantaine de collaborateurs alors qu’ils étaient une septantaine en 2010.
Et la sécurité?
Depuis 2012, les machines ne redistribuent plus de sous, mais des tickets valables dans le casino et à la caisse, ce qui a permis de réduire le cash et les risques pour nos salariés et clients, même si l’établissement est bien doté en matière de sécurité. Heureusement, il n’y a jamais eu de problème.
Dans une interview en 2010, vous expliquiez que les casinos vivaient une période difficile. La situation s’est-elle améliorée?
Non, mais nous sommes toujours là, ce qui prouve que nous avons gagné des batailles, même si la guerre est permanente. Durant ma carrière à Fribourg, le covid a été de loin l’élément qui a eu le plus d’impact. Cette période a coïncidé avec l’émergence des jeux en ligne, dont l’exploitation a été autorisée en Suisse dès 2019. Depuis, nous avons retrouvé des couleurs, mais pas le niveau d’activité d’avant-pandémie.
Comment cela se traduit-il en chiffres?
L’établissement a fait un peu moins de 15 millions de francs de chiffre d’affaires l’année passée, alors qu’avant le Covid, il en faisait environ 20 millions. Le record de 30 millions a été enregistré en 2010.
Vous parlez aussi de l’augmentation du nombre de personnes exclues de jeu d’argent. Les dispositions légales sont effectivement de plus en plus exigeantes. Or, certains joueurs en ligne n’aiment pas donner des documents financiers personnels à des entités qu’ils ne connaissent pas. Conséquence: ils n’ont plus l’autorisation de jouer en Suisse, ce qui nous enlève de la clientèle.
Avez-vous toujours un espace fumeurs?
Oui, il s’agit de l’espace le plus fréquenté de l’établissement: les clients peuvent y fumer et jouer, mais il n’y a pas de service.
Quel est le plus gros gain que vous ayez vu dans ce casino?
Un dimanche matin, une habituée a remporté un peu plus de 120 000 francs sur une table de poker grâce à une cagnotte qui n’avait pas été gagnée depuis longtemps. Nous avons célébré cela comme il se doit, avec du champagne et des confettis.
Combien d’argent le casino a-t-il reversé à Coriolis infrastructure, association de communes pour la politique culturelle dans l’agglomération de Fribourg, selon l’accord qui vous permet un allégement fiscal?
De 2003 à 2025, ce qui couvre la première concession du casino, environ 26 millions ont été versés.
Parlez-nous de votre successeur Cyril Lecherf. Nous avions travaillé ensemble au Touquet. Il a postulé à Fribourg comme croupier et a progressivement gravi tous les échelons. Son parcours est assez atypique dans la profession.
(source : laliberte.ch/Lise-Marie Piller)Permalien christophe-lancel-quitte-la-direction-du-casino-de-fribourg-30-12-2024-781.html
Le Conseil des prélèvements obligatoires veut remettre sur la table la fiscalité des jeux d’argent. Il recommande de taxer les gains supérieurs à 500 euros, la publicité, mais aussi de revoir les taux de taxes selon les jeux et leur caractère addictif.
La dernière note du Conseil des prélèvements obligatoires a pointé du doigt la fiscalité «illisible» des jeux d’argent. Selon cet organisme rattaché à la Cour des comptes, une remise à plat est nécessaire pour simplifier et uniformiser le taux appliqué à chaque jeu, avec comme seule variable leur caractère addictif et leur situation concurrentielle. Les paris sportifs et les jeux de grattage se verraient ainsi beaucoup plus taxés que les paris hippiques et le loto, rapporte Les Échos.
Les taxations sont aujourd’hui très disparates. Ainsi, le conseil propose un rééquilibrage. Il souhaite par exemple relever à 58%, contre 46% actuellement, le taux de prélèvement effectif du produit brut des paris sportifs, de 30% à 46,3% celui du poker en ligne, ou d’abaisser à 26,5% contre 33% celui des paris hippiques.
Lutter contre les addictions
Pour l’État, il s’agit de récolter près de 7 milliards d’euros par an en taxant des acteurs en situation de quasi-monopole, mais aussi de lutter contre les effets addictifs des jeux, notamment auprès des jeunes, indique le journal. La part des joueurs ayant une pratique problématique et compulsive est d’ailleurs plus importante du côté du poker ou des paris sportifs (60%), que sur le loto ou les jeux de grattage (30%), ce qui justifierait une différence de taxation.
Le Conseil des prélèvements obligatoires demande également la mise en place d’une taxe sur la publicité des jeux d’argent et une imposition des gains supérieurs à 500 euros. Le CPO ouvrirait ainsi la voie à une taxation sur une enveloppe d’au moins un milliard d’euros par an, précisent nos confrères.
(source : capital.fr/Thibaud Hue)Permalien france-jeux-d-argent-vers-une-taxe-sur-les-gains-et-une-fiscalite-plus-severe-28-12-2024-780.html
Près de l'emblématique "Grand Lisboa", symbole des casinos qui ont enrichi Macao, Suzanne Leong, propriétaire d'une boutique de vêtements en difficulté, s'inquiète comme beaucoup d'habitants de l'ultra-dépendance économique du territoire chinois à l'industrie du jeu.
Après la pandémie, les visiteurs sont revenus nombreux dans l'ex-colonie portugaise, qui occupe à nouveau la première place mondiale en termes de chiffre d'affaires pour les jeux d'argent, devant Las Vegas.
Macao célèbre cette semaine les 25 ans de sa rétrocession à la Chine. Deux décennies qui coïncident avec l'insolente prospérité des casinos, un secteur qui a fait des Macanais les plus riches Chinois en termes de revenu par habitant.
Mais pour nombre d'habitants comme Suzanne Leong, la reprise post-Covid bénéficie peu aux petits commerces et souligne la nécessité pressante d'une économie plus diversifiée. Si le gouvernement central à Pékin encourage depuis longtemps cette tendance, les résultats restent mitigés.
"Ce n'est pas simple de faire de Macao un endroit moins dépendant des casinos. Mais si on n'essaie pas maintenant, on aura encore moins d'options à l'avenir", déclare à l'AFP Mme Leong, 51 ans.
"Et parce que j'aime vraiment Macao, tout cela me fait peur", dit-elle.
Sa boutique attirait nombre de clientes il y a encore une décennie, lorsque les Macanaises, enrichies par leurs emplois dans le secteur du jeu, étaient friandes des dernières tendances.
Mais les habitudes ont changé.
Les acheteuses réduisent leurs dépenses et les touristes de Chine continentale se contentent de s'asseoir sur un banc public devant sa boutique pour manger leur déjeuner sur le pouce, sans rentrer à l'intérieur.
Résultat: ses bénéfices actuels représentent à peine 10% de ceux de l'époque.
"Macao a l'air prospère. Mais de nombreux restaurants et commerces souffrent" et "personne ne sait vraiment quoi faire", déplore Mme Leong.
- "L'argent entre trop facilement" -
L'âge d'or des casinos à Macao, seul endroit de Chine où ils sont autorisés, a véritablement commencé en 2002, lorsque les autorités ont mis fin au monopole du magnat Stanley Ho, aujourd'hui défunt, et autorisé l'arrivée d'exploitants étrangers.
Moins de cinq ans après, le territoire chinois semi-autonome surpassait Las Vegas en termes de chiffre d'affaires du secteur du jeu.
Preuve aujourd'hui de la dépendance de Macao aux casinos: ils génèrent 81% des rentrées d'argent public.
"Cela fait au moins dix ans que le gouvernement central espère que l'économie de Macao se diversifie. Mais rien n'a bougé", déclare Ieong Meng-u, politologue à l'université de Macao.
"Avec le secteur du jeu, l'argent entre trop facilement", relève-t-il.
Cependant, en 2022, les six exploitants des casinos macanais n'ont pu renouveler leurs licences qu'après s'être engagés à investir dans des activités non liées au jeu.
ls doivent consacrer l'équivalent de 14,2 milliards d'euros à des chantiers de parcs d'attraction, de palais des congrès ou de salles de spectacle.
Le président chinois Xi Jinping, qui sera à Macao cette semaine pour assister aux célébrations, voudra probablement "voir de ses propres yeux ce que ces investissements non liés au jeu ont produit comme résultats", estime Ben Lee, fondateur de la société de conseil IGamiX.
- Matches NBA -
Les autorités municipales ont par ailleurs désigné six zones historiques à revitaliser, une pour chaque exploitant.
Mais "les casinos sont des entités économiques rationnelles. Ils feront uniquement le minimum qu'ils pensent nécessaire", selon M. Lee.
Les exploitants annoncent par ailleurs régulièrement concerts, conférences et événements sportifs. La ligue nord-américaine de basket NBA vient ainsi de conclure un accord pour organiser des matches de pré-saison à la Sands' Venetian Arena à partir de 2025.
Outre le tourisme, les autorités locales, dont le prochain dirigeant macanais, Sam Hou-fai, espèrent faire de certains secteurs les nouveaux moteurs économiques du territoire.
Il sera néanmoins "très difficile pour un endroit comme Macao d'avoir un avantage concurrentiel" dans les domaines proposés jusqu'à présent (services financiers, technologie ou encore médecine chinoise), juge Vitaly Umansky, analyste au cabinet Seaport Research Partners.
Même après une année "extrêmement difficile", Mme Leong ne compte toutefois pas fermer sa boutique.
"Il faut comprendre la situation actuelle et s'adapter", déclare-t-elle.
"Je ne quitterai pas Macao. Je veux que la ville devienne meilleure."
(source : boursorama.com/AFP)Permalien paradis-des-casinos-macao-peine-a-diversifier-son-economie-18-12-2024-779.html
Présent à Antibes (La Siesta) et à Mandelieu (Royal Casino) le groupe JOA permettra dès demain mercredi 18 décembre, l’utilisation de cryptomonnaies dans ses établissements grâce à un partenariat avec la fintech française LYZI. Une première européenne.
Une première dans les casinos français et européens : dès demain, mercredi 18 décembre, le groupe JOA sera le 1er opérateur européen de casinos à permettre l’utilisation de cryptomonnaies dans ses établissements. Deuxième groupe en France en nombre d'établissements avec 33 casinos dont deux sur la Côte d’Azur (La Siesta à Antibes et le Royal Casino à Mandelieu) il proposera à ses clients la possibilité de convertir leurs cryptomonnaies en euros pour régler leurs parties de jeu.
Pour ce projet, JOA s'est associé à LYZI, une fintech française pionnière dans le paiement en cryptomonnaies qui propose une solution mobile simple, sécurisée et 100% française."Nous avons voulu rendre l'expérience d'utilisation de cryptomonnaies aussi simple et accessible que possible pour nos clients," explique Romain Jouas, directeur digital du Groupe. “Le processus proposé par LYZI est très fluide : le client en caisse des jeux scanne un QR code pour convertir sa cryptomonnaie en euros. Le caissier, notifié, édite un ticket de jeu du montant envoyé par le client. C'est simple, rapide et sécurisé. Ce système permet à nos clients de bénéficier de la simplicité et de la rapidité des transactions en cryptomonnaies, tout en offrant aux casinos une solution sécurisée sans frais supplémentaires."
Pour le casino, cette solution représente un atout pour attirer une clientèle connectée et pour se mettre en phase avec les tendances digitales. “En adoptant cette technologie, nous visons à attirer une nouvelle génération de clients, tout en enrichissant l'expérience de tous nos visiteurs", note Laurent Lassiaz, CEO du Groupe. “Ce partenariat incarne la synergie possible entre des entreprises historiques et les technologies de pointe liées au Web3, à la blockchain et aux cryptomonnaies" souligne de son côté Damien Patureaux, CEO et co-fondateur de LYZI. “C'est une avancée majeure pour l'industrie du divertissement et des loisirs."
(source : webtimemedias.com/Jean-Pierre Largillet)Permalien france-premiere-dans-les-casinos-europeens-joa-joue-les-cryptomonnaies-17-12-2024-778.html
Le développeur de contenu de casino leader du secteur lance le tout premier jeu de crash avec Quest of Adventure
Malte : 17 décembre 2024 : Attachez vos ceintures pour une aventure passionnante et pleine de tension avec le tout premier jeu de crash de Stakelogic, Quest of Adventure.
Le studio très demandé est fier de faire ses débuts dans le monde dynamique des jeux de crash. Les joueurs sont invités à rejoindre un bel explorateur alors qu'il tente de distancer un énorme rocher roulant et de surmonter une variété d'obstacles dangereux, qui ajoutent tous à l'excitation et à l'intensité de l'expérience de jeu.
Au fur et à mesure que le rocher roule, un multiplicateur toujours croissant se construit. Les joueurs doivent relever le défi de déterminer le moment précis pour encaisser, en évaluant la tentation de récompenses plus importantes par rapport au risque d'un échec catastrophique ; laissez le rocher rouler trop longtemps et le temps de l'aventurier s'épuisera, le laissant tel un tas de cendres fumantes sur la piste.
Cette aventure captivante prend vie grâce à des graphismes élégants et modernes et à des animations imaginatives, plongeant les joueurs dans une expérience palpitante remplie de tension et d'excitation.
Bien entendu, comme il s'agit d'un jeu Stakelogic, le genre Crash prend une tournure nouvelle et passionnante. Le jeu propose une phase de maintien unique, qui donne aux joueurs la possibilité de remporter leur victoire garantie ou de tout risquer pour un prix plus important.
Le jeu offre un énorme potentiel de gain, offrant un RTP de 97 % et un gain maximum de 5 000 fois votre mise si l'aventurier parvient à atteindre la fin de la piste.
James Jelliffe, responsable des machines à sous chez Stakelogic, a déclaré : « Le secteur des jeux de crash est un domaine dans lequel notre équipe a hâte de se lancer depuis longtemps. Quest of Adventure nous offre la possibilité de faire travailler un peu notre créativité en apportant une nouvelle touche passionnante à un type de jeu populaire.
Avec Quest of Adventure, nous avons non seulement créé un monde coloré rempli d'action captivante et d'animations originales, mais nous avons également pu introduire la fonction unique Hold Phase, qui ajoute un niveau d'excitation supplémentaire à un format de jeu déjà passionnant.
Permalien stakelogic-s-aventure-dans-le-monde-de-crash-games-avec-le-lancement-de-quest-of-adventure-17-12-2024-777.html
Communiqué de presse
Zurich, le 29 novembre 2024 Les licences actuelles de tous les casinos suisses expirent le 31 décembre 2024. Les demandes de nouvelles licences pourraient être déposées auprès de la Commission fédérale des casinos (ESBK) jusqu’en octobre 2022. Sur la base de l'examen et de la recommandation de l'ESBK, le Conseil fédéral a accordé le 29 novembre 2023 les nouvelles licences pour 20 années supplémentaires de 2025 à 2044 - y compris notre Casino ADMIRAL Mendrisio. En 2024, l'ESBK a examiné avec succès les exigences opérationnelles et a approuvé la poursuite sans problème des opérations de jeux au 1er janvier 2025. Grâce à la nouvelle concession, le Casino ADMIRAL de Mendrisio pourra pour la première fois proposer les machines à sous innovantes de sa société sœur et partenaire technologique leader NOVOMATIC et les mettre en service début 2025.
Nous sommes très heureux de pouvoir continuer à offrir à l'avenir à la région une offre de jeux attrayante et innovante et souhaitons remercier tous nos clients pour la confiance qu'ils accordent à notre casino. La nouvelle concession constitue la base pour poursuivre notre success story et assumer notre responsabilité en tant que facteur économique et employeur à l'avenir. En 2023, notre casino a réalisé un produit brut des jeux de 74,1 millions de francs, s'imposant ainsi comme l'un des casinos terrestres les plus rentables de Suisse.
En plus des opérations de jeux terrestres, notre casino ADMIRAL Mendrisio a déposé une demande de jeux en ligne, qui est actuellement en cours d'examen par l'ESBK. Nous souhaitons proposer notre offre innovante de jeux en ligne dans toute la Suisse à partir de 2025.
Permalien casino-admiral-mendrisio-licence-d-exploitation-pour-20-ans-supplementaires-et-machines-a-sous-novomatic-12-12-2024-776.html
Le méga casino du Hard Rock Entertainment World s’éloigne. En cause, la fin des avantages fiscaux accordés par la Generalitat.
Le projet de méga casino près de Port-Aventura a, encore, du plomb dans l’aile. Vieux d’une dizaine d’années, ce chantier a été remis à plus tard à de maintes reprises en raison de brouilles politiciennes puis de risques environnementaux et enfin de risques chimiques. Mais cette fois-ci, c’est un avantage fiscal accordé par le gouvernement catalan qui est remis en cause et pourrait mettre fin définitivement à l’avenir du méga casino du Hard Rock Entertainment World.
Un projet à l’impact économique et touristique non négligeable puisque 2.000 emplois directs étaient espérés sans compter les 20.000 indirects qu’il aurait pu générer à terme dans la zone de loisir la plus importante d’Europe puisque le complexe aurait dû être implanté non loin de Port-Aventura, près de Tarragone.
Les revenus des jeux imposés à 55 % au lieu de 10 %
Mais le Parlement catalan a fait un premier pas, ce mercredi, pour mettre fin aux avantages fiscaux des porteurs du projet. Ainsi, les revenus des jeux ne seraient plus imposés à 10 % comme c’est le cas actuellement mais à 55 %.
Depuis 2014, une loi accordait plusieurs avantages fiscaux à Barcelona World, devenu depuis Hard Rock Entertainment World.
Le vote de la modification de cette loi pourrait intervenir dès la semaine prochaine au Parlement catalan. Avec ce changement, la décision de poursuivre le Hard Rock sera entre les mains du promoteur du projet, analyse la télévision catalane.
Pour la petite histoire, c’est ce projet de Vegas catalan qui a torpillé la majorité fragile de l’indépendantiste Pere Aragones incapable de boucler un budget face aux exigences de certains de ses alliés sur le Hard Rock World.
En l’absence de budget, de nouvelles élections ont été organisées et, pour la première fois depuis 2010, les indépendantistes ont perdu les commandes de la Generalitat. C’est désormais le socialiste Salvador Illa qui préside le gouvernement catalan.
Un recours administratif ?
Au final, le méga casino près de Barcelone n’a jamais été aussi proche de sa fin même si le maire de Vila-seca, commune sur laquelle il aurait dû être implanté, a suggéré que les promoteurs du projet pourraient déposer un recours administratif contre la Generalitat pour "dommages" ou pour "reformuler le projet".
Depuis plus de dix ans, ce projet a été maintes fois relancé puis stoppé. Appelé initialement Eurovegas, puis BCN World, il s’appelle désormais le Hard Rock Entertainment World et promettait d’être l’un des plus grands casinos d’Europe (1.200 machines à sous et 100 tables de jeux) avec son complexe XXL hôtelier dédié quasi exclusivement au divertissement.
Un projet qui prévoyait également deux hôtels de 1.100 chambres au total, un centre commercial avec 75 magasins, une piscine de 6.000 mètres carrés, une salle de concert de 15.000 personnes, un Hard Rock Café et un Rock Shop de la marque.
(source : lindependant.fr/Stéphane Sicard)Permalien mega-casino-pres-de-barcelone-voici-pourquoi-le-las-vegas-catalan-ne-verra-sans-doute-jamais-le-jour-12-12-2024-775.html
Le groupe de casinos Partouche ne pourra pas absorber de hausses de prélèvements, comme le prévoyait l'ancien projet de budget, au regard des investissements engagés pour rénover ses établissements, a annoncé mardi à l'AFP son président Fabrice Paire.
Le groupe a réalisé un chiffre d'affaires annuel de 434,3 millions d'euros, en hausse de 2,5%, pour son exercice décalé 2023/2024, un niveau jugé "satisfaisant" par le dirigeant mais "pas suffisant pour absorber des hausses de prélèvements".
En parallèle, le deuxième casinotier français (derrière le groupe Barrière), avec 41 établissements exploités et 3.900 salariés, a rénové trois de ses plus importants casinos à Annemasse, Divonne et La Tour-de-Salvagny.
Alors que l'ancien projet de budget prévoyait de taxer plus lourdement le secteur, Fabrice Paire a souligné que la hausse du produit net des jeux (différence entre les mises des joueurs et leurs gains net des prélèvements publics), de l'ordre de 6 millions d'euros cette année, ne compensait pas les "dizaines de millions d'euros consacrés à la rénovation".
"Notre activité ne nous permet pas de tout absorber, a-t-il insisté. C'est impératif que l'Etat comprenne qu'on n'a pas une élasticité infinie. On le fera savoir au prochain cabinet (du ministère) du Budget".
Il a par ailleurs regretté un "manque de recul" sur le sujet de l'ouverture des casinos en ligne qui viendrait "perturber le paysage d'activité" des casinos physiques.
Déplorant un niveau de prélèvement "extrêmement élevé", Fabrice Paire a estimé qu'il y avait "d'autres solutions" pour renflouer les caisses de l'Etat, à chercher du côté des gains des joueurs.
"Quand mes clients gagnent plus de 1.500 euros, leur gain est soumis à une taxation à la CSG (de 13,7%, NDLR). Si c'était appliqué aux gains des clients de la FDJ, ça rapporterait beaucoup et ça serait assez indolore", a assuré le dirigeant, qui estime que la Française des Jeux est favorisée face aux autres opérateurs.
Entre novembre 2023 et octobre 2024, le groupe Partouche a dégagé un produit brut des jeux (PBJ) de 712,3 millions d'euros, en hausse de 1,5%.
En France, l'activité a été portée par les machines à sous, tandis que les formes électroniques de jeux ont reculé, notamment les jeux de table dans les casinos qui étaient en travaux.
À l'international (Suisse et Belgique), à l'inverse, le PBJ a été porté par les jeux traditionnels et notamment par les jeux online suisses tandis que le PBJ des machines à sous a reculé.
(source : boursorama.com/AFP)Permalien france-le-dirigeant-de-partouche-previent-que-le-groupe-ne-pourra-pas-absorber-de-hausses-de-taxe-11-12-2024-774.html
Après quatre mois de travaux de rénovation d'un coût de quatre millions de francs, le casino de Bad Ragaz se présente dans un design Art déco avec des espaces optimisés et de nouvelles possibilités d'événements.
Le 29 novembre, le casino de Bad Ragaz a fêté sa réouverture après une phase de transformation de quatre mois. Les investissements s'élèvent à environ quatre millions de francs.
« Notre objectif était de créer une mise à niveau non seulement visuelle, mais aussi fonctionnelle pour nos clients et de pouvoir offrir à la population régionale une véritable alternative de sortie dans un environnement moderne », explique Hans-Peter Moser, co-directeur du casino.
Un aménagement de l'espace optimisé
Sous la direction créative de l'architecte Marlene Gujan d'Igis, l'ensemble du casino a été conçu dans un style Art déco. L'entrée, les tables de jeu en direct et les zones de machines à sous ont été repensées afin de structurer les espaces pour une meilleure expérience de visite. La structure du casino est restée inchangée.
« Les modifications architecturales sont allées bien au-delà d'une simple revalorisation visuelle », explique le co-directeur Orhan Yildiz. « Grâce à une optimisation ciblée de l'aménagement de l'espace et à l'utilisation de couleurs et de matériaux plus clairs, l'ensemble du casino dégage une atmosphère moderne et accueillante ». Parallèlement, les différentes zones du casino ont été restructurées et une séparation claire a été faite entre les zones de jeu, de restauration et d'événements. L'offre gastronomique a également été élargie et modernisée, comme par exemple le Golden Wave Bar.
Flexibilité pour les manifestations et les événements
Le nouvel espace de concerts et d'événements permet désormais une utilisation flexible grâce aux plateformes modulaires. Les plateformes peuvent être utilisées à différents endroits et offrent ainsi de multiples possibilités pour différents formats d'événements.
En mettant l'accent sur les manifestations, le Casino Bad Ragaz souhaite s'adresser à une clientèle plus large. Au programme, des prestations régulières de DJs, d'artistes live et des soirées à thème.
En coulisses, le casino a également investi afin d'améliorer la durabilité et l'efficacité de son exploitation. Toutes les sources lumineuses ont été remplacées par des lampes LED et l'ensemble du système de ventilation a été modernisé. En outre, le casino a été raccordé au système de réfrigération du Grand Resort. Avant cela, le casino utilisait déjà le système de chaleur du resort et était chauffé par la chaleur résiduelle de l'eau thermale évacuée.
Réouverture des thermes Tamina
Le 21 décembre, les thermes Tamina rouvriront à plein régime. Les espaces bain, sauna et wellness seront fermés du 16 au 20 décembre afin d'effectuer les derniers travaux d'optimisation à l'intérieur et d'achever la piscine extérieure. Le Café Therme, le Therme Shop et l'espace beauté/Babor Shop restent ouverts pendant cette période. (mm)
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Haute distinction pour le parking du Casino-Palace Lucerne
Le Gold Award est considéré comme l'« Oscar de la gestion des parkings » et est décerné pour des services excellents, des exigences de qualité élevées en matière de propreté, un service de stationnement confortable et des normes de sécurité strictes. Le parking Casino-Palace reçoit cette distinction convoitée en tant que premier parking de la Suisse centrale.
Le directeur de l'exploitation Antonio Hoffmann déclare fièrement : « La distinction reçue est pour nous un grand honneur et nous montre que nos efforts et notre haut niveau de sommes sur la bonne voie. Avec beaucoup de lumière, un équipement complet DAB+- radio et un concept de sécurité complet, nous assurons un grand confort dans le parking. notre parking ».
Le European Gold Award est décerné tous les deux ans par l'European Parking Association (EPA). et certifie dans cinq catégories les parkings les plus remarquables et les plus excellents. parkings en Europe. Le parking Casino-Palace a récemment reçu ce prix. de ParkingSwiss - le centre de compétence national pour toutes les questions liées au en matière de stationnement.
Salutations amicales
GRAND CASINO DE LUCERNE
Antonio Hofmann
Directeur d'exploitation du parking du Casino-Palace de Lucerne
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Des casinos sur des bateaux de croisières, un restaurant à Dubaï, un hôtel à Courchevel en 2026, la conquête de nouveaux territoires est lancée à la SBM. Pascal Camia en livre les détails.
Jour historique, le 14 novembre dernier. Pour la première fois de son histoire, la Société des Bains de Mer inaugurait, hors de ses frontières, un casino portant son style et ses valeurs. L’établissement ouvert à bord du navire de croisière Crystal Symphony est le fruit d’un partenariat entre le groupe monégasque et la compagnie Crystal Cruises.
Il représente un acte fondateur pour la Société des Bains de Mer, engagée depuis plusieurs mois dans un développement de ses établissements à l’étranger. Un rôle confié à Pascal Camia, directeur du développement international du groupe, qui en dit davantage sur ses ambitions. Interview.
L’idée étant que, quand le client entre dans notre casino, il doit retrouver nos codes et l’âme du lieu
Comment avez-vous transposé, sur un bateau, l’esprit des salles de Jeux du Casino de Monte-Carlo?
C’est un travail que nous avons réalisé en six mois grâce à l’expertise de nos équipes, que je remercie. Nous avons sélectionné d’abord des appareils automatiques qui plaisent à la clientèle nord-américaine, qui fréquente beaucoup le bateau. Pour l’aménagement, notre bureau d’études a donné à cette salle de 100mètres carrés, l’aspect d’un salon privé du Casino de Monte-Carlo. Avec les monogrammes sur les tables, la même la signalétique. Nous sommes allés dans le détail en choisissant les tables de jeux, les tapis. Nous avons même dessiné les boudins autour de la table de jeux!
Ce partenariat prévoyait que vous formiez les équipes de Crystal au savoir-faire des Jeux monégasques.
Notre équipe des Jeux est entrée sur le bateau début novembre pour former les employés de Crystal à notre modèle des Jeux à l’européenne, à notre expertise. Je remercie les deux formateurs qui sont partis, Alexis Schroeter et Jean-René Manfredi. En plus de toute la technique, ils ont aussi donné des cours magistraux sur la principauté de Monaco. Pour que ces employés connaissent notre casino et notre pays.
Y a-t-il une façon particulière de tenir une table ici aussi?
Effectivement, les règles du jeu sont partout les mêmes mais nous avons une façon de manipuler, de déplacer des jetons sur les tables. Les équipes de Crystal se sont adaptées à notre façon de jouer, très élégante, que ce soit des jeux de cartes ou la roulette. L’idée étant que, quand le client entre dans notre casino, il doit retrouver nos codes et l’âme du lieu. Et l’âme, vous ne la retransmettez qu’avec de l’humain. Le jour de l’inauguration, les premiers clients ont retrouvé ce côté "waouh" que l’on a quand on entre au Casino à Monaco.
Comment allez-vous assurer la pérennité de cet effet au fil des croisières?
Nous irons sur le bateau une fois par an regarder si les standards d’opération dans le cahier des charges de notre contrat de franchise sont bien opérés. Nous nous sommes aussi assurés, et c’est important, de faire en sorte que tout ce qui est lutte anti-blanchiment, soit respecté. Quand le bateau est à quai, le casino est fermé. Il ne peut être actif qu’en pleine mer, dans les eaux internationales. C’est une règle de base de toutes les croisières. Et dans les eaux internationales, c’est la Nevada Gaming Authority qui s’applique.
C’est la première fois dans l’histoire de la société que vous créez une salle de jeux hors de Monte-Carlo, d’autres projets vont-ils suivre?
Nous sommes en cours d’équipement d’un deuxième bateau, Crystal Serenity, pour la mer des Caraïbes. Deux de nos collaborateurs iront former les équipes sur place pour l’ouverture le 18 décembre. Dans les chantiers navals italiens Fincantieri, Crystal projette de construire trois autres bateaux de 500 à 600 passagers pour 2028, 2030 et 2032. Donc d’ici huit ans, il pourrait y avoir cinq casinos de Monte-Carlo sur les mers du globe, ce qui donnera une visibilité énorme à la marque. Par la suite, on pourrait exporter notre savoir-faire dans des salles privées d’autres casinos, en comptant sur notre partenaire Galaxy. Pour, par exemple, ouvrir un grand casino avec une salle privée au label Casino de Monte-Carlo.
Pourrait-on imaginer ce label Monte-Carlo à Las Vegas ou à Macao?
Peut-être dans un deuxième temps. Mais Las Vegas ou Macao sont des destinations beaucoup plus grand public. Au Casino de Monte-Carlo, nous avons ces salles grand public mais notre expertise est plutôt dans les salons pour très gros joueurs. Nous n’avons pas vocation à aller en priorité dans ces destinations-là pour les Jeux, mais peut-être plutôt avec nos marques de restauration.
Le développement international de la SBM est lancé. Comment les marques du groupe sont-elles accueillies dans un contexte de forte concurrence?
Quand le président Valeri m’a confié cette mission, il savait que la marque Monte-Carlo était vraiment très reconnue dans le monde. Quand vous dites que vous venez du Casino de Monte-Carlo, votre interlocuteur, en général, a les yeux qui brillent. Il sait que c’est un casino mythique, il sait que c’est une marque iconique. Automatiquement, quand notre groupe a voulu s’exporter, il y a eu du répondant. Une marque comme la nôtre, sur des destinations un peu nouvelles ou avec des partenaires qui veulent avoir une marque de luxe exceptionnelle, cela fonctionne bien. Notre notoriété est très forte. L’objectif est d’aller vers des destinations fréquentées par notre clientèle, pour trouver un nouveau levier de croissance et de devenir profitable en installant nos marques dans de nouveaux marchés.
Lesquelles en particulier?
Nous sommes très fiers d’avoir commencé à exporter la marque Casino de Monte-Carlo qui est l’ADN du groupe. Et c’est la marque très attractive Monte-Carlo que nous allons mettre en avant, que ce soit dans l’hôtellerie ou dans la résidence, qui est devenue une activité fortement profitable. Mais toujours en combinant la résidence avec de l’hôtellerie de luxe autour d’un label Monte-Carlo One Hôtels et Résidences, à l’international.
Nos clients fréquentent ce "triangle" Monaco/Courchevel/Saint-Tropez
Quelles destinations avez-vous en ligne de mire?
Des destinations de très haut de gamme, où proposer des services sur mesure dans l’hébergement ou la restauration. Je pense à Courchevel, où nous avons acquis un hôtel, à Saint-Tropez, à Saint-Barth, à Dubaï, à Londres, où à Miami, éventuellement. Pourquoi pas l’Arabie Saoudite également, ou des destinations qui sont en train de se réinventer comme Ibiza ou Mykonos.
Ça a du sens d’être à Saint-Tropez, si proche de Monaco?
Oui, parce que nos clients fréquentent ce "triangle" Monaco/Courchevel/Saint-Tropez. Quelques fois, ils sont à Monaco et peuvent avoir envie d’une journée de détente sur les plages de Pampelonne. Si nous arrivons à avoir un établissement à Saint-Tropez, il pourrait être un levier de croissance et créer de la synergie entre les deux destinations.
Votre premier restaurant doit ouvrir à Dubaï en 2025, comment progresse le dossier?
Plusieurs locaux qui ont été sourcés. Nous travaillons à la fois le design, l’installation et le menu qui sera un mariage de la gastronomie des deux Rivieras. Ce restaurant haut de gamme, mais pas gastronomique, s’appellera Monte-Carlo Club 1863. 1863 étant l’année de la fondation du groupe.
Et comment progresse le chantier de l’hôtel à Courchevel?
L’objectif est de l’ouvrir en décembre 2026 pour la saison d’hiver. On a commencé cet automne à curer le bâtiment. Les travaux démarreront en mai 2025. L’hôtel sera surélevé avec des toits en pente, comme le permet la réglementation. Commercialement, il nous offre la possibilité d’y loger des appartements de très grande surface, ce que recherche la clientèle. A côté, nous allons construire trois chalets, étendre le spa, créer un ski room de luxe...
Sur une quinzaine de projets, je dirais que l’on en retient entre un et trois
Par le passé, la SBM a eu des revers de fortune dans ses ambitions de développement international. Aujourd’hui, le groupe est-il équipé pour cette expansion?
La période est la bonne, oui. Pour éviter d’être dilué dans le monde du luxe international, il faut aussi que l’on aille planter quelques drapeaux dans ces destinations où nos clients sont. Actuellement, nous recevons globalement nos clients d’avril à novembre.
Avec un hôtel à Courchevel et un restaurant à Dubaï, et puis d’autres établissements au fil du temps, nous pourrons être visibles tout au long de l’année. Et nous faire connaître auprès de clientèles qui ne viennent pas à Monaco en faisant briller notre savoir-faire. L’aspect héritage est fort, depuis 160 ans nous avons passé toutes les crises, les guerres, les générations, les tendances. Mais il faut justement toujours innover.
Aujourd’hui, combien de projets pourraient se concrétiser dans les prochains mois?
Beaucoup de développeurs, de promoteurs, recherchent la marque Monte-Carlo. À chaque fois, nous réalisons des analyses financières et stratégiques assez précises. Sur une quinzaine de projets, je dirais que l’on en retient entre un et trois. Et tous doivent prendre en maturité.
(source : monacomatin.mc/CEDRIC VERANY)Permalien -notre-notoriete-a-l-international-est-forte-comment-la-sbm-se-lance-a-la-conquete-de-nouveaux-territoires-par-dela-les-frontieres-de-monaco-02-12-2024-771.html
Communiqué de presse
Les casinos de Baden et de Locarno obtiennent l'autorisation de commencer à exploiter des maisons de jeu à partir du 1er janvier 2025.
Presque un an jour pour jour après l'octroi par le Conseil fédéral des concessions pour l'exploitation des jeux de 2025 à 2044, la CFMJ a ordonné la reprise de l'exploitation ordinaire des jeux pour les casinos de Baden et de Locarno, après avoir passé avec succès les audits d'exploitation. Les deux établissements reçoivent ainsi le feu vert pour poursuivre leur activité sans interruption à partir du 1er janvier 2025.
En avril 2024, la CFMJ a contrôlé l'exploitation des jeux terrestres et en ligne à Baden dans le cadre de processus distincts. Les inspections avaient pour but de vérifier, en vue du début de l'exploitation au 1er janvier 2025, si les prescriptions techniques et légales étaient respectées et si les indications fournies dans le cadre de la demande de concession en octobre 2022 avaient été correctement mises en œuvre. Fin octobre 2024, l'inspection de l'exploitation des jeux terrestres a eu lieu à Casinò Locarno SA.
Aujourd'hui, le projet « Nouvelles concessions », qui a duré environ trois ans, s'achève avec succès pour les deux casinos du groupe d'entreprises de Baden. Le conseil d'administration de Stadtcasino Baden AG remercie la direction et tous les collaborateurs et collaboratrices de Baden et Locarno pour leur excellent travail et les félicite pour l'obtention réussie de la licence.
Contact
info@stadtcasinobaden.ch
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Communiqué de presse
Lugano, le 26 novembre 2024 – Le Casino Lugano donne le coup d'envoi de la très attendue Mystery Night, l'événement du week-end qui promet du plaisir, de l'excitation et des prix en argent à ne pas manquer jusqu'au 28 décembre 2024. Chaque vendredi et samedi, les visiteurs pourront participer à deux tirages par soirée. , avec des dotations vertigineuses: 15'000 CHF à gagner vendredi et 10'000 CHF samedi.
Deux soirées uniques, parfaites pour ceux qui souhaitent vivre des moments de loisirs dans un environnement élégant et raffiné, au cœur de la splendide Lugano, face au lac Ceresio.
Comment participer ?
La participation aux Mystery Nights est simple et accessible à tous les clients du Casino. Jouez simplement aux machines à sous le soir pour accéder automatiquement à la promotion.
Ne manquez pas cette opportunité !
Vivez la magie du Casino de Lugano, laissez-vous emporter par l'atmosphère exclusive des Nuits Mystères et vivez le frisson de gagner des prix incroyables.
De plus, pour vous accueillir, il y aura non seulement le personnel de la maison de jeux, mais aussi les fascinantes Mystery Girls avec leurs Mystery Box exclusives, prêtes à rendre chaque soirée encore plus spéciale. Et pour vivre une expérience vraiment complète, laissez-vous séduire par le goût inimitable et raffiné du restaurant Elementi.
Pour plus d'informations, les conditions générales, visitez notre site officiel www.casinolugano.ch ou suivez-nous sur nos réseaux sociaux pour rester au courant de toutes les initiatives et événements.
Casino de Lugano – Où l'élégance se mêle à un divertissement unique, authentique et incomparable.
Bureau de commercialisation
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Tél +41 91 973 71 11
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Ouverture reportée pour les casinos de Prilly et Winterthour. La CFMJ annonce des retards dus à des contrôles incomplets, repoussant le lancement à fin 2025. Ces établissements avaient reçu leur concession l'année dernière.
Le casino de Prilly (VD) n'ouvrira pas ses portes avant fin 2025. La Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) n'a pas pu faire les contrôles requis pour une ouverture dès le début de l'année, indique-t-elle jeudi dans un communiqué.
Ces contrôles n'ont pas pu se faire pour des raisons liées à la construction, précise la CFMJ. La situation est la même pour le casino de Winterthour (ZH).
Le Conseil fédéral avait octroyé l'année dernière sa concession au projet de casino de Prilly, après que la ville de Lausanne a refusé d'accueillir un tel établissement, ainsi qu'à celui de Winterthour.
Du retard a aussi été pris pour les offres en ligne des casinos de Locarno (TI) et de Saint-Moritz (GR). Et les contrôles se poursuivent pour le casino de Davos (GR), indique la CFMJ, qui a octroyé une autorisation à 19 maisons de jeu pour un début d'activité en janvier 2025.
(source : blick.ch/ATS)
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- 17-11-2022 - Nouvelle attribution des concessions pour les maisons de jeu : fin de l’appel d’offres et résultat
- 22-06-2022 - Commission fédérale des maisons de jeu : rapport d’activité pour l’année 2021 (dernière modification, le 27.06.2022)
- 27-04-2022 - Remise au concours des concessions pour les casinos : décisions de principe du Conseil fédéral
- 03-12-2021 - Thomas Fritschi à la tête du secrétariat de la Commission fédérale des maisons de jeu
- 17-09-2021 - Calendrier pour l’attribution des nouvelles concessions aux maisons de jeu
- 18-08-2021 - Jeux de casino en ligne : extension des concessions des casinos de Bâle et de Montreux
- 11-06-2021 - Commission fédérale des maisons de jeu : rapport annuel 2020
- 07-06-2021 - Départ du directeur de la Commission fédérale des maisons de jeu
- 25-11-2020 - Jeux de casino en ligne : extension de la concession du Casino de Neuchâtel (dernière modification, le 27.11.2020)
- 18-11-2020 - Fabio Abate sera le nouveau président de la Commission fédérale des maisons de jeu
- 01-07-2020 - Commission fédérale des maisons de jeu : rapport annuel 2019
- 29-04-2020 - Jeux de casino en ligne : extension de la concession des casinos de Lugano et de Meyrin
- 29-11-2019 - Commission fédérale des maisons de jeu : composition à partir du 1er janvier 2020
- 20-11-2019 - Jeux de casino en ligne : deux maisons de jeu reçoivent une extension de leur concession
- 08-10-2019 - Jeux de hasard : comportements et problématique en Suisse
- 03-07-2019 - Rapport annuel de la Commission fédérale des maisons de jeu pour l’année 2018 (dernière modification, le 03.07.2019)
- 24-06-2019 - Restriction de l’accès aux offres de jeux d’argent en ligne non autorisées
- 07-06-2019 - Jeux de casino en ligne : concession étendue pour quatre maisons de jeu
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